Le secrétaire général de la fédération générale de la santé, Hassan Al-Mazni, a déclaré aujourd’hui, mercredi 2 avril 2025, que l’objectif d’une grève est d’ouvrir la porte aux négociations, indiquant que les demandes les plus importantes sont des accords antérieurs initiés depuis les années 2019 et 2020, et la plupart d’entre eux sont procéduraux pour la mise en œuvre des règlements.
Il a souligné qu’un accord avait été conclu avec la présidence du gouvernement en février 2021, dans le cadre duquel une décision ministérielle avait été émise par le ministre à l’intention du comité chargé de rédiger la loi fondamentale, mais que les travaux avaient été interrompus le 20 octobre 2023 et n’avaient pas repris jusqu’à présent.
Il a souligné que les agents de soutien sont affiliés aux agents de l’État, ce qui est inacceptable, car les agents de santé doivent avoir leur propre statut pour fournir des services de santé décents au citoyen, ce qui a été initié et un ordre du gouvernement a été publié en 2019 et l’intégration des ouvriers dans les spécialités requises a été initiée, mais au cours de la période Covid, il a été convenu de reporter le processus d’intégration, mais le processus n’a pas repris.
D’autres demandes concernent des arrêtés antérieurs et des accords de procédure, tels que la profession pénible, pour laquelle l’arrêté a été préparé mais sa publication a été reportée à chaque fois, indiquant l’existence de la subvention pour le travail social, qu’il considère comme étant distribuée de manière injuste, appelant à son unification entre tous les employés.
Il a également souligné que les services de santé sont devenus inadéquats et que les hôpitaux se dirigent pour la plupart vers la faillite, et qu’il y a une grande faiblesse dans la performance et une grande pénurie de ressources humaines, soulignant la demande de négociations sur la façon de promouvoir le secteur de la santé.
Il a démenti l’existence d’un dialogue sérieux jusqu’à présent, indiquant que la fédération générale et l’UGTT sont prêtes à négocier, précisant que l’organe administratif sectoriel a pris la décision de faire grève et que le bureau exécutif de l’université a fixé la date de la grève au 17 avril, le communiqué officiel n’ayant pas été publié dans l’attente de l’ouverture des négociations.
« La grève n’est pas un objectif mais un moyen d’ouvrir la porte aux négociations », a-t-il déclaré, précisant que la grève concerne tous les hôpitaux, les administrations régionales et centrales, les instituts d’enseignement liés à la santé et tout ce qui a trait au secteur de la santé publique.
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