L’ancien Chef du gouvernement, Habib Essid a révélé dans un ouvrage qu’il a récemment publié intitulé “Les Mémoires de Habib Essid » que la loi d’amnistie législative générale promulguée en 2011 était caractérisée par une sorte d’improvisation.
Ajoutant que la liste totale des prisonniers, y compris les politiciens, parmi les syndicalistes et les défenseurs des droits humains, on compte environ 1 200 personnes condamnées en vertu des dispositions de la loi sur le terrorisme, et certaines d’entre elles sont condamnées à mort.
Habib Essid a déclaré dans son livre, qui a été rapporté par le journal Al-Sabah dans son numéro d’aujourd’hui, que l’ancien Chef du gouvernement, Ali Larayedh, lui a confié lors de la cérémonie de passation des fonctions au ministère de l’Intérieur en 2011, sa reconnaissance à l’ancien président défunt, Ben Ali, qui sans lui, il aurait été parmi les morts, étant donné qu’il a été condamné à la peine de mort à l’époque.
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