C’est la question que se posent la plupart des tunisiens, depuis le 25 juillet dernier, puisqu’à part un ou deux partis politiques, toutes les autres formations ont mis la sourdine, et semblent se terrer, en attendant des jours meilleurs.
C’est la question que s’est, aussi, posée, l’activiste Jawher Ben Mbarek, et à laquelle il a essayé de trouver une réponse.
Selon Ben Mbarek, et après une mure réflexion, Tous ces partis et toutes ces personnalités qui se revendiquaient des défenseurs de la démocratie et des droits de l’Homme, n’ont pas fait de déclarations, et n’ont pas pris position, en rapport avec ce qu’il a qualifié de « putsch », tout simplement, parce qu’en leur fond, ils sont avec le putsch, mais ils ont des doutes quant à son issue, et ont peur qu’il n’échouent. C’est pour cette raison qu’ils n’osent pas se prononcer pour ou contre ces faits, de peur qu’il n’échoue, par la suite.
Ben Mbarek a assimilé ces partis et personnalités politiques à des gens atteints d’hémiplégie !
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