Les médias de Papouasie-Nouvelle-Guinée et d’Australie ont annoncé lundi que “trois personnes ont été tuées et plus de 1 000 maisons détruites à la suite d’un séisme de magnitude 6,9 qui a frappé la Papouasie-Nouvelle-Guinée hier dimanche”.
Le Centre allemand de recherche en géosciences a déclaré, hier dimanche, que le séisme a frappé la région isolée de l’Est du Sepik, au nord du pays, à une profondeur de 65 kilomètres. Le journal local de Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Post Courier, a annoncé lundi que trois personnes étaient mortes et que des maisons et des ponts s’étaient effondrés.
Le gouverneur du Sepik Est, Alan Baird, a déclaré lundi à l’Australian Broadcasting Corporation (ABC) que les autorités régionales avaient initialement estimé que 1 000 maisons avaient été détruites à la suite du tremblement de terre, qui a frappé une zone déjà touchée par des inondations. Il a déclaré : « Il y a eu un tremblement de terre auquel personne n’était préparé. C’est lui qui a causé les plus grands dégâts à l’heure actuelle », selon Reuters. La Papouasie-Nouvelle-Guinée est située dans la ceinture de feu du Pacifique, une région connue pour ses fréquents tremblements de terre.
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