Les images étaient choquantes, et ont fait le tour, non pas du pays, mais du monde entier, ne manquant pas de rappeler les affres d’autres groupes islamistes qui se sont rendus tristement célèbres par leur violence et leurs actes meurtriers !
Un manifestant monté sur le toit des locaux d’Ennahdha, à Kairouan, le drapeau tunisien à la main, pour manifester sa colère contre les islamistes et pour revendiquer la primauté de l’étendard national, a eu à payer les frais de la folie meurtrière des gardiens du temple d’Ennahdha. Un individu, apparemment, membre du parti islamiste, ou, du moins, chargé de défendre leur citadelle à Kairouan, n’a nullement hésité, en attaquant de derrière, le manifestant, et en le poussant dans le vide, depuis le toit du bâtiment.
On l’a, un moment, donné pour mort, avant de se rendre compte que, par on ne sait quel miracle, il a réussi à atterrir sur un toit voisin, et a évité une chute sur le sol, qui lui aurait, surement, été mortelle.
Une image forte qui montre à quel point les islamistes sont affolés, et à quel point ils se sentent menacés dans leur subsistance, et à quel point, aussi, ils sont prêts à tout, même au pire, pour défendre leurs intérêts, aux dépends, s’il le fallait, de ceux du pays et des autres.
Ce qui s’est passé, ce dimanche, à Kairouan est une action effrayante qui confirme ce qu’avait prédit le martyr, Chkori Bélaïd, avant d’en faire lui-même, les frais, quand il a assuré que les islamistes recourraient à la violence, à chaque fois qu’ils se sentiront acculés et menacés !
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