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“La sanction collective infligée à la population civile gazaouie est un crime de guerre”, selon Amnesty International

“La sanction collective infligée à la population civile gazaouie est un crime de guerre”, selon Amnesty International

La fermeture de la seule centrale électrique de Gaza va exacerber la crise humanitaire déjà catastrophique que subissent les plus de 2,2 millions de personnes piégées dans la bande de Gaza, soumise par Israël à une campagne massive de bombardements, qui a fait au moins 1 350 morts et plus de 6 000 blessés, selon Amnesty International.

« Les autorités israéliennes doivent immédiatement rétablir l’approvisionnement de Gaza en électricité, suspendre les restrictions renforcées imposées sur l’ordre du ministre de la Défense le 9 octobre 2023, et lever leur blocus illégal de la bande de Gaza en place depuis 16 ans. La sanction collective infligée à la population civile gazaouie est un crime de guerre. Elle est cruelle et inhumaine. En tant que puissance occupante, Israël a l’obligation explicite, aux termes du droit international, de veiller à ce que les besoins fondamentaux de la population civile de Gaza soient satisfaits », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.

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