Lors du débat télévisé avec son adversaire au second tour des élections présidentielles prévues ce dimanche, le président français sortant Emmanuel Macron a accusé Marine Le Pen de “subordination à l’autorité russe et (au président russe Vladimir Poutine)”, en raison d’un prêt financier obtenu par la candidate d’extrême droite d’une banque russe.
De son côté, Le Pen a démenti sèchement cette accusation, affirmant qu’elle est une “femme totalement et absolument libre”, justifiant son recours à la banque russe du fait qu’aucune banque française n’avait accepté de lui accorder un prêt.
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