Le chef du gouvernement, Ahmed Hachani, a attaqué le chantier des faux diplômes et des recrutements complaisants au sein du secteur public, avec un menu très garni, conformément aux directives du président de la République, Kais Saied. Ce mardi 17 octobre Abid Briki a fait entendre sa musique et elle est un peu différente de celle des palais de Carthage et de la Kasbah…
L’activiste politique et ancien ministre de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption est d’avis que le toilettage de l’administration et de la fonction publique est essentiel mais que le travail ne doit pas s’arrêter aux seuls recrutements. Il a dit sur Mosaïque FM que la réforme administrative doit aller bien au-delà et débusquer d’autres dossiers chauds tels que les marchés publics, les voitures de fonction, etc.
“De nombreux recrutements faits après la Révolution touchent certaines classes sociales défavorisées, telles que les ouvriers de chantiers ou ceux qui relèvent du système 16, les fichés S. Par exemple le nombre des bénéficiaires de l’amnistie générale qui ont rejoint la fonction publique est de six mille à peine“, a-t-il indiqué…
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