Parfois les meilleurs ennemis des musulmans ce sont eux-mêmes. Et que dire quand des faits de violence sont commis devant “la maison de Dieu”, la mosquée et en plein mois de Ramadan, lequel est censé rimer avec clémence, tolérance, bienveillance, pardon, amour de son prochain, etc. Ce qui s’est passé à la mosquée de Goussainville, dans le Val-d’Oise (région parisienne), dépasse l’entendement et collera à la peau de la communauté musulmane. On peut compter sur Eric Zemmour et son acolyte Marion Maréchal pour exploiter copieusement cette bataille rangée qui a causé 3 blessés, à l’arme blanche…
Les fidèles de la mosquée, qui étaient censés venir prier et rentrer tranquillement chez eux, en sont venus à l’affrontement et le couteau est sorti. Qu’est-ce que cette arme faisait là ? Mystère. Qu’est-ce qui se serait passé si l’assaillant était venu avec une arme à feu ? D’après des informations du journal Le Parisien les heurts se sont déroulés aux environs de 22 heures, les forces de l’ordre ont été appelées pour stopper une rixe entre une trentaine d’individus devant une des mosquées de la commune où la communauté turque a ses habitudes.
Les policiers ont dû faire usage d’une grenade lacrymogène et d’une grenade de désencerclement pour mettre un terme à la bagarre généralisée. Deux hommes âgés de 21 ans ont été touchés respectivement au bras et à l’épaule par des coups de couteau. Ils ont été conduits à l’hôpital de Gonesse pour y être soignés. Leur pronostic vital n’est pas engagé, heureusement…
Mais un troisième fidèle, âgé de 23 ans, a été sévèrement frappé au dos ; il est possible que son poumon soit perforé. Sa vie n’était pas en danger quand il a été admis à l’hôpital mais sa blessure a viré à l’urgence absolue. Il a été acheminé vers l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière (Paris XIIIe) par le Smur.
D’après les témoignages des victimes la tension aurait commencé dans cette mosquée de Goussainville entre deux groupes de fidèles issus de la communauté turque. Ils sont allés dehors pour démêler leurs quiproquos. Le ton serait alors monté et un des protagonistes a dégainé un couteau. D’après les mêmes sources tout est parti d’un regard de travers dans la mosquée.
Les trois individus blessés n’ont pas souhaité déposer une plainte et ont refusé de balancer aux enquêteurs des indications sur l’agresseur présumé, qui a disparu après ses crimes. Mais on peut compter sur les fins limiers pour le rattraper très vite…
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