Zouhaier Hamdi, secrétaire général du Courant populaire a assuré, ce lundi 15 novembre 2021, que si le Chef de l’Etat n’avait pas pris les mesures du 25 juillet, on l’aurait accusé de négligence, car la Tunisie était menacée d’effondrement, durant cette période.
Il a précisé que à une radio privée que “Les citoyens étaient en train de mourir sur les routes et devant les hôpitaux, alors que le gouvernement était à moitié paralysé et les députés au Parlement incapables de faire leur travail. C’est pourquoi Kais Saïed avait pris les choses en main et a sauvé le pays de la dérive”, a-t-il expliqué.
Le SG du Courant populaire , a ajouté que cette période d’exception va aboutir à la tenue d’élections anticipées mais qu’avant cela, le chef de l’Etat doit prendre d’autres mesures. “On l’a appelé à agir dans ce sens et on continuera à le faire”, a-t-il dit.
Hamdi a estimé que l’on ne peut pas organiser des élections sans penser, d’abord, à changer le cadre politique et social en vigueur. Il a ajouté, dans ce contexte, que la loi électorale doit aussi être amendée.
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