Chawki Gaddes, président de l’Instance nationale de protection des données personnelles (INPDP) a affirmé, ce vendredi 18 mars 2022, qu’il existe des risques pour ce qui est de la mise en place de ce nouveau système de cartes d’identité et des passeports biométriques.
Intervenant, ce vendredi sur les ondes d’une radio privée, Gaddes a considéré qu’il est inacceptable de constituer une base de données collective notamment au vu du choix du ministère permettant la lecture à distance de ces données. “Ces choix vont à l’encontre des principes des Etats démocratiques”, a-t-il dit.
Et d’indiquer que l’INPDP soutient ce projet de CIN biométrique comme étant le seul moyen de développer l’administration électronique, mais des réserves subsistent.
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