La situation au Proche-Orient atteint un point critique alors que les tensions entre Israël et le Hamas s’intensifient. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a récemment accentué la pression sur la ville de Rafah, menaçant d’une offensive imminente. Rafah, située dans le sud de la bande de Gaza, abrite plus d’un million de Palestiniens et représente un point de tension majeur dans le conflit.
Face à cette situation alarmante, la Chine est intervenue, appelant Israël à mettre fin «au plus vite» à son opération militaire dans la région. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a exprimé l’opposition ferme de la Chine contre les actions nuisant aux civils et violant le droit international.
L’objectif est clair : éviter une «catastrophe humanitaire plus grave encore» à Rafah, où la moitié de la population de Gaza vit dans une précarité exacerbée.
La communauté internationale observe avec inquiétude l’évolution de la situation, espérant qu’un accord de trêve incluant la libération d’otages puisse être rapidement trouvé.
Cependant, la détermination de Netanyahou à poursuivre l’offensive jusqu’à une «victoire complète» sur le Hamas, qualifié de «dernier bastion» à Rafah, complique les efforts de paix et faine planer une menace de génocide et de crime contre l’humanité devant une position passive des différentes puissances mondiales
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