Dans la foulé de la tempête « Daniel » et ce qu’elle a occasionné comme dégâts dans le nord est libyen, les complications et autres problèmes, n’ont pas mis longtemps à se manifester, et en cascade.
Ainsi, et parmi les plus gros problèmes qui s’imposent, maintenant, aux autorités, il y a les milliers de cadavres non encore ensevelis, ou, toujours sous les décombres, dont la putréfaction menace de l’apparition d’épidémies infectieuses. Il y a, aussi, la contamination de l’eau courante. Ce qui a occasionné, jusqu’à présent, pas moins de 55 cas d’intoxication, notamment, cher les enfants.
Il y a, ensuite, le problème des nombreux migrants, puisque la ville, déjà mise à mal, a accueilli près de 40 mille migrants en provenance des localités avoisinantes qui ont été durement touchées par la tempête et les crues. La ville se plaint, aussi, d’un manque d’eau potable et de carburants, sans parler du réseau de communications qui a été sévèrement touché.
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