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Par Habib Toubib : Défi aux polytechniciens !

Par Habib Toubib : Défi aux polytechniciens !

Jadis, les femmes de Chenini-Tataouine faisaient la cueillette ou plutôt le ramassage des olives dans les Jessour du Dahar et par la suite elles procédaient à l’extraction de l’huile d’olive du terroir à domicile sans faire appel aux services des huileries souterraines du village.

Le broyage se pratiquait manuellement à l’aide d’une “Guergaba” en pierre (meule), la pâte ainsi obtenue est placée dans une “Kossaa” (récipient en bois), on y ajoutait de l’eau tiède, le dépôt est essoré dans un tissu propre (Kettana) pour en extraire davantage de principe actif.

Le surnageant doré d’huile vierge première “sous-pression à froid” ainsi obtenu est recueilli à la louche pour un usage culinaire immédiat.

à ce propos je lance un défi:

Nos ingénieurs, nos polytechniciens sont-t-ils en mesure de s’inspirer de cette pratique ancestrale de la femme rurale du Djebel pour mettre au point un nouveau procédé qui permette aux agriculteurs de rentrer de la cueillette des olives avec leur provision toute prête d’huile d’olive dans les bidons ou encore mieux dans les jarres.

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