Sami Tahri, secrétaire général adjoint de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) et son porte-parole, a déclaré que le démarrage du dialogue national n’a pas été retardé, car les quatre organisations (UGTT, l’Ordre national des avocats, la LTDH et le FTDES) n’ont pas fixé de calendrier.
Il a expliqué sur les ondes de Mosaïque fm, que le document de l’Initiative de dialogue national est la vision et l’approche du Quartet relative à un certain nombre de scénarios, tout en proposant des solutions qui concernent les aspects, autant politique, qu’économique et social.
“Nous aurions pu présenter l’initiative et quiconque souhaite s’y joindre le ferait, mais nous avons préféré que le travail soit participatif avec toutes les organisations et avec l’aide d’experts dans diverses spécialités”, a-t-il dit.
Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail a reconnu l’existence de certains désaccords internes sur le diagnostic de la crise et les solutions économiques, ainsi que ceux liés au volet politique.
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