La crise de maque d’oxygène médical n’est pas résolue. Et les quantités ramenées depuis l’étranger sont insignifiantes par rapport aux besoins quotidiens du pays et des structures de soins.
Malgré les efforts soutenus fournis par tout le monde, et malgré le fait que les unités de production de ce fluide tournent à plein régime, quasiment toutes les régions du pays souffrent, en ce moment, même, d’un manque aigu d’oxygène médical. Tous les établissements de soins n’ont plus que des réserves de quelques heures, et, surtout, ce qui est le plus grave, c’est que personne n’a de visibilité pour les heures à venir, et personne ne pourrait confirmer qu’il va pouvoir recevoir du ravitaillement, à temps, avant que le pire ne se produise.
En l’absence de ravitaillement suffisant, la seule manière de pouvoir espérer maintenir les malades en vie et satisfaire la demande croissante, est d’optimiser l’utilisation et la consommation d’oxygène, en essayant de réduire la déperdition de ce fluide si précieux.
dEt, ce, par exemple, en utilisant des équipements plus « économes » en oxygène, en ayant recours aux masques qui évitent une trop grande déperdition dans l’air ambiant, comme les masques à haute concentration, et éviter les masques de type « lunettes » !
Mais la priorité doit rester, en ce moment, l’importation et l’acheminement d’oxygène, de tous les horizons, et à rythme soutenu, jusqu’à dépassement de la crise en cours.
Et il faudra, par la suite, prévoir de mettre en place un système de ravitaillement fiable, afin de pouvoir faire face à ce type de demande accrue, lors d’éventuelles prochaines vagues, puisque ce satané virus et ses nouvelles souches, semble occasionner des dégâts pulmonaires plus étendus avec des besoins en oxygène plus accrus !
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