Les routes, les écoles et les habitations à l’Ariana, ont littéralement coulé sous la pluie hier soir, prouvant une fois de plus, qu’il suffit de quelques averses pour révéler l’état de l’infrastructure dans toutes les régions du pays, y compris, dans le grand Tunis.
Comme le montre les photos, à l’Ariana il n’existe aucune règle en matière de défaillance de l’infrastructure. Des quartiers les plus pauvres tels que la cité Ennassim, aux cités relativement riches telles que la nouvelle Ariana, en passant par les logements des classes moyennes à la cité Ennozha.
Certes Les constructions anarchiques, le rejet des déchets dans les canaux d’évacuation et le non-respect des plans d’aménagement urbain, aggrave la situation, mais la négligence de l’Etat demeure la cause majeure de cette situation révoltante, en particulier dans une ville aussi proche de la capitale.
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