Il est prématuré de parler de la démission d’Elyès Fakhfekh. « C’est lui qui a parlé de démission, nous avons juste affirmé que son comportement était moralement discutable », a déclaré Hassouna Nasfi, président du groupe parlementaire de la Réforme nationale.
Les commissions d’enquête n’ont encore rien publié et les instances judiciaires ne se sont pas encore prononcées tout comme les organismes de contrôle. Cela veut dire que le Chef du gouvernement bénéficie encore de la présomption d’innocence jusqu’à preuve de sa culpabilité, a-t-il expliqué.
Le député a également souligné que la position de son parti allait varier selon le verdict des instances compétentes.
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