Le pays est en prise aux dissensions et aux querelles intestines, notamment, au sommet de l’Etat, entre les trois présidences. Entretemps, le petit peuple trinque, et va, souffrir, bien plus, dans les prochaines semaines, puisque le pays est endetté, et, pour le moment, aucune solutions ne pointe à l’horizon, pour éviter le pire au pays, et amorcer un soupçon de repêchage.
Mais, malheureusement, il semble bien que personne ne daigne s’occuper de ce petit peuple, et on continue, au sommet de l’Etat, à se faire une guerre sans merci, dans l’objectif de s’emparer du pouvoir et pour gouverner. Et, le pire, c’est que personne entre ces messieurs-dames qui se chamaillent, n’a compris qu’à ce rythme, il n’y aura plus rien à gouverner. Il n’y aura plus de Tunisie, ni de tunisiens.
Pourtant, ces messieurs-dames vont devoir se rendre à l’évidence, et s’ils ne se ressaisissent pas de leur propre chef, ils risquent de se voir tirer les oreilles par d’autres plus forts qu’eux, comme ont est, d’ailleurs, en train de le voir, de plus en plus, lors des visites des dirigeants tunisiens à l’étranger, et de le comprendre à travers les déclarations des hôtes européens et autres. Des déclarations qui disent, sous une forme diplomatique bien enveloppée, leur exaspération de ces disputes de bagarres entre les plus hautes institutions de l’Etat.
D’ailleurs, on a, bien compris, que les hostilités sont en train de baisser, depuis quelques jours, puisque, quelque part, on a commencé à comprendre que ce n’est, vraiment, pas le moment d’embêter le chef du gouvernement, et qu’il va falloir le laisser se démener pour obtenir les prêts et crédits qu’il est en train de chercher auprès des bailleurs de fonds, afin de pouvoir sauver le pays. Ils ont commencé à comprendre qu’ils vont devoir poireauter pendant, au moins, trois mois, avant de reprendre leurs hostilités et leur projet de faire sauter le gouvernement. Car, les bailleurs de fonds et les pays qui se portent garants ne donneront aucune importance à un nouveau gouvernement qui n’aura pas le temps de s’installer avant des mois. Et, entretemps, la Tunisie va devoir, absolument, décrocher suffisamment de prêts, ne serait-ce que pour payer ses milliards de dettes extérieures. Faute de quoi, le pays sera classé comme « non solvable » et il sera, de ce fait, déclassé par les agences de notations, et on pourra, alors, dire adieu au pays !
Alors, de grâce, foutez la paix à Mechichi, et allez vous occuper ailleurs ! A la plage, par exemple ! Et rongez vos freins jusqu’au mois de septembre. Vous aurez, alors, tout le loisir de vous entretuer !
Que se passe-t-il en Tunisie?
Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!
Commentaires