Le dirigeant au sein de l’UGTT, Samir Cheffi, a annoncé, ce mardi, à la presse, que l’avis de l’UGTT par rapport à la migration clandestine cadre avec le discours officiel de la présidence, dans le sens du refus de transformer la Tunisie en une plateforme d’accueil et de fixation des candidats à la migration.
Concernant les termes de l’accord, Cheffi a assuré que l’UGTT n’a pas reçu la copie de ce texte pour se prononcer, ajoutant que la Tunisie a besoin d’un partenariat, mais sans conditions de la part de l’Union Européenne, ni du FMI.
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