Plusieurs partis, associations et organisations ont appelé le gouvernement à prendre les mesures nécessaires à l’encontre des syndicats sécuritaires, dans un communiqué publié hier.
Les signataires ont à cet effet appelé à entamer des poursuites judiciaires à l’encontre des syndicats sécuritaires suite aux campagnes d’apostasie et aux appels à la violence lancés par ces derniers. Ils ont également réitéré leurs positions contre toutes les lois injustes, notamment la loi 52 sur les stupéfiants.
Dans le même contexte, les 66 signataires du communiqué ont dénoncé l’arrestation de plus de 1600 manifestants, lors des dernières protestations au cours desquelles les jeunes ont exprimé leurs positions contre les politiques gouvernementales, appelant à la libération immédiate des personnes arrêtées et à la suspension de toutes les poursuites à leur encontre.
Notons que plusieurs partis ont signé le communiqué commun notamment Al Massar, le Courant démocrate, le Courant populaire et le mouvement Echâab. En outre, plusieurs associations et ONG, notamment la Ligue tunisienne des droits de l’Homme et le Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux (FTDES) ont participé à cette initiative.
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