Des agents de police ont confisqué aujourd’hui le matériel et les téléphones portables de la journaliste et du caméraman de Tunisie Numérique chargés de couvrir l’actualité au Bardo, en complète violation des dispositions législatives et constitutionnelles relatives à la liberté de presse.
Les agents de sécurité ont empêché nos correspondants de poursuivre leur travail sans aucune raison légale ou logique même après la présentation de leurs cartes professionnelles.
Nos correspondants ne sont pas les seuls à avoir été harcelés par les forces de l’ordre. D’autres journalistes ont également été victimes de ces agissements pour le moins condamnables, ce qui suggère que des instructions ont été données pour empêcher les journalistes de faire leur travail correctement et de couvrir l’actualité de manière professionnelle, loin des rumeurs et des intox.
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