En protestation contre la décision du président de la République de limoger 57 magistrats, la grève se poursuit causant par voie de conséquence une paralysie dans la plupart des tribunaux avec tout ce que cela a comme incidence sur les intérêts des citoyens.
Le ministère de la justice est revenu sur la dangerosité de la situation impactée par cette grève, soulignant que certains magistrats ont manifesté le désir de poursuivre leurs tâches mais qui furent empêchés et harcelés. Le ministère met en garde certaines pages sur les réseaux sociaux suites à la publication d’informations diffamatoires.
Des pratiques que le ministère juge illégales et qui portent préjudice aux droits légitimes des citoyens et parmi eux les détenus en attente de jugement.
Le ministère appelle au respect du droit à l’exercice de la fonction et prôner l’intérêt général des citoyens tout en rappelant que la nécessité impose l’application des lois en vigueur contre tous ceux qui entravent la fluidité de la marche de la machine juridique et portent atteinte à la notoriété des magistrats.
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