Commentant la position de l’UTICA sur la loi relative à la relance économique et le règlement des infractions de change, la présidente du PDL Abir Moussi a déclaré que la centrale patronale n’a jamais été une référence.
Elle a qualifié ladite loi de « scandaleuse », car bien que certains de ces dispositions peuvent avoir un impact positif, certains de ces articles peuvent avoir des répercussions catastrophiques.
Ainsi, d’après la politicienne, l’ARP aurait dû réviser certaines dispositions avant d’adopter cette loi.
Abir Moussi a par ailleurs estimé que comme l’UTICA, les positions de l’UGTT sont parfois critiquables, faisant référence au silence de l’organisation face à la polémique autours du code des Eaux.
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