Le membre du collectif de défense de la présidente du PDL, Abir Moussi, Nafaâ Laâribi, a annoncé, ce mercredi, à la presse, que les plaintes que doit affronter Abir Moussi, sont au nombre de sept.
Il a rappelé que la première affaire concerne sa protestation devant le palais de Carthage, et dans laquelle, elle encourt la peine de mort.
La deuxième affaire a été ouverte quand il s’est avéré, à la lumière des expertises, que Moussi n’avait rien à se reprocher dans la première affaire. Cette deuxième plainte émane du président de l’ISIE. Sachant que Moussi n’a, toujours pas été auditionnée dans cette affaire.
Laâribi a ajouté qu’il y a, encore, trois autres plaintes déposées par le président de l’ISIE, Farouk Bouasker, en plus d’une plainte de l’UGTT, suite au sit in tenu par le PDL, devant le siège de la centrale syndicale.
Laâribi a ajouté que toutes ces affaires ont été ouvertes dernièrement, bien que les plaintes datent de quelques années, ce qui témoigne, a-t-il expliqué que « le pouvoir commence à redouter les concurrents pour les prochaines élections présidentielles.
Il a ajouté qu’il y a une autre plainte contre Abir, qui a été déposée par l’organisation de protection du sacré, suite au sit in devant le siège de l’union Internationale des Ulémas musulmans.
Et, enfin, une dernière plainte déposée par le ministère des affaires étrangère, pour dépassement du temps alloué pour la tenue d’un sit in, autorisé, devant le siège du ministère.
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