Ils ont été unanimes, les candidats de la section athématique du baccalauréat, ainsi que leurs parents, mais, aussi, leurs professeurs. Les sujets de la session principale du baccalauréat, en ce moment, en cours, ont été hors des compétences acquises par les élèves. Notamment avec l’année tronquée et le programme allégé qu’ils ont eu à acquérir cette année, exceptionnelle, su fait de la pandémie du covid.
De l’avis, même, des enseignants, les sujets proposés aux candidats dans les épreuves de mathématiques et de sciences physiques ont été, pour le moins qu’on puisse dire, « vicieux » !
Des sujets qui risquent de foute en l’aire les efforts gigantesques consentis durant une année pas comme les autres par les élèves, leurs enseignants, ainsi que l’autorité de tutelle. C’est dans cette mesure que les élèves et les enseignants voient qu’on est, quelque part, en train de saper leurs efforts de toute une année qu’ils ont passée avec tous ses défis et avec les circonstances qui l’ont émaillée, avec les arrêts de cours, et les risques épidémiques !
Les candidats et leurs enseignants disent s’en remettre au patriotisme et à la bonne volonté du ministre de l’éducation et son staff de la direction générale des examens, pour trouver une solution légale de réduire l’impact de ces sujets d’examens sur les élèves.
Il s’agirait, aussi, de communiquer sur ce sujet, pour calmer les esprits et rassurer les candidats pour leur permettre de reprendre leurs esprits après qu’ils aient été complètement, mis hors circuit, après ces deux épreuves. Les plus coriaces d’entre eux ne pensant plus qu’à la façon de pouvoir sauver les meubles et pouvoir se faufiler en session de contrôle.
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