Le président de l’Association Tunisienne des Jeunes Avocats, Nabil Harakati, a déclaré que les syndicats de police, ont essayé à plusieurs reprises, de faire pression sur la justice en « menaçant les juges » et en « harcelant les avocats ». C’est pour cela que l’association a décidé de demander la dissolution judiciaire de ces dernières.
L’avocat a souligné, dans le même ordre d’idée, que le pluralisme syndical ne doit en aucun cas être un prétexte pour commettre de telles infractions, indiquant que l’association n’a rien contre l’amélioration de la situation matérielle des agents, mais qu’elle refuse catégoriquement que soient promulgués des lois susceptibles de réinstaurer l’Etat policier.
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