Le deuxième vice-président de l’ARP, Tarek Ftiti a déclaré à la correspondante de Tunisienumérique à l’ARP que la condamnation des actes de violence commis à l’égard de la députée, Abir Moussi est venue suite à une correspondance envoyée de la part de l’Union interparlementaire (UIP).
« Il y a bien eu violence à l’égard de Abir Moussi et nous devons le reconnaitre, a affirmé le député, et avancer l’argument que Makhlouf ait été provoqué par Moussi, ne justifie en aucun cas la violence”.
Ftiti a, par ailleurs, regretté ne pas pouvoir qualifier le président d’Al Karama de collègue, réitérant que la condamnation de la violence demeure une question de principe, peu importe l’identité de l’agresseur et de la victime.
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