En réponse à des questions des députés lors de la séance plénière consacrée à la discussion du projet de budget du ministère de la justice, Leila Jaffel a précisé que dans l’affaire de l’envoi des jihadistes aux foyers de tension, il y a plus de huit cent accusés. Ce qui a poussé le parquet à fractionner le dossier pour référer les personnes en détention préventive, et poursuivre l’instruction pour les accusés en état de liberté.
Concernant l’affaire du complot contre a sûreté de l’Etat, toutes les démarches sont légales et on ne peut pas parler de défaillance dans la communication, puisque le tribunal n’a pas à entrer dans la polémique créée par les avocats et proches des accusés, et, en plus, le juge d’instruction a interdit tout traitement de ce dossier par les médias.
De même que pour l’affaire de l’évasion des terroristes de la prison d’Al Mornaguia, où il n’y a aucune défaillance de communication, vu que le ministère n’a pas le droit de divulguer le secret de l’instruction en cours. Ce qu’il y avait à dire a été dit. On les a fait évader, et ils ont été repris !
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