Ces images ont fait le tour des réseaux sociaux hier soir, Mouslim Gazdallah, un blessé de la révolution ayant perdu sa jambe, n’a pas choisi la voie de la facilité, mais celle du travail.
« Je ne regrette rien, et si c’était à refaire, je le referais. Je perdrais à nouveaux ma jambe et j’en serais fier », a-t-il déclaré, ajoutant, que plutôt que de « mendier l’Etat » il préférait travailler dur même pour un petit salaire.
Les proches de Mouslim ont indiqué que même après avoir perdu sa jambe, il continue encore à défendre les causes qu’il estime justes, quitte à traverser des centaines de kilomètres pour participer à certaines manifestations.
Ils ont également fait savoir qu’il ne s’attend pas à être dédommagé, mais à ce que les véritables coupables soient sanctionnés, suite à un procès équitable.
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