Le chef du service des urgences à l’hôpital Abderrahmane Mami, Rafik Boujderia a mis en garde, aujourd’hui, contre un probable pic de décès au mois de février, lors d’une intervention sur les ondes d’une radio privée.
Soulignant la situation sanitaire alarmante dans le pays, le médecin a indiqué que le bilan général pourrait atteindre le seuil des 8000 morts en février. Ce pic serait dû, selon lui, à des causes multiples, telles que l’affluence dans les moyens de transport public, les files d’attente et surtout les fêtes de fin d’année.
Pour pouvoir surmonter la crise, le docteur a lancé un appel pour accélérer le processus d’un vaccin adapté à l’environnement et au climat.
Commentant les bruits qui courent ces derniers jours sur l’éventualité d’un nouveau confinement général, Boujderia a écarté cette possibilité, compte tenu de la situation économique du pays.
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