La Tunisie est en train de vivre une profonde crise économique. Une crise qui se caractérise par un défaut de fonds et de finances, qui accule le gouvernement à faire beaucoup d’acrobaties pour réduire la casse et collecter des fonds.
Parmi les outils utilisés de préférence par le gouvernement, le renforcement du recouvrement, l’appui sur la fiscalité et les tentatives de réduction des charges.
Or, ces méthodes ont pour conséquence l’absence de création de richesses, donc, l’absence de tout espoir de relance, par le biais de la destruction des PME.
Or la logique voudrait que le gouvernement injecte des fonds pour relancer le secteur des PME, dans le but de faire tourner la roue de l’économie, améliorer le pouvoir d’achat, promouvoir les secteurs de création des richesses.
Car, si l’Etat continue à empêcher la création de richesses, la crise économique va conduire à une détérioration de la situation sociale, et par là, la situation sécuritaire du pays, ce qui retentirait sur son image à l’international et bloquerait tout espoir d’aide.
Donc, la solution pour endiguer la crise et éviter le pire, est de courir au chevet de l’économie et, notamment, le secteur des PME.
Que se passe-t-il en Tunisie?
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