Amnesty International Tunisie a appelé à l’application de la loi numéro 51 de l’année 2019 concernant la création d’une catégorie de transport pour les travailleuses et travailleurs du secteur agricole, une mesure qui, selon l’organisation, demeure lettre morte en raison du non-mise en place des mécanismes nécessaires pour sa mise en œuvre.
“Il est impératif d’assurer la sécurité et la dignité des travailleurs et travailleuses du secteur agricole, exposés à des risques, dans un contexte de marginalisation et de silence des structures étatiques à leur égard. Cela est d’autant plus crucial que cet accident est le deuxième consécutif depuis le début l’année 2024” lit-on dans le communiqué d’Amnesty.
A rappeler qu’un accident de la route est survenu lundi dernier dans la délégation de Jelma, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid entraînant le décès d’une femme 29 autres ouvrières agricoles ont été blessées.
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