Le président français Emmanuel Macron, n’aura pas fini de susciter polémique sur polémique, là où il va, et là par où il passe. Il faut avouer que cette guerre à Gaza, qui a été une surprise pour lui, lui donne, vraiment, beaucoup de fil à retordre.
Il s’est trouvé dépassé, depuis les premières salves de roquettes, et les premiers coups de feu. Il ne savait plus où donner de la tête et que faire, ni que dire. Et çà s’est encore compliqué davantage avec la constatation de la prise en otage d’un certain nombre d’israéliens porteurs de la nationalité française.
Il s’est, ainsi, trouvé, sous la pression de ses « amis » les soutiens infaillibles de l’Etat sioniste, dans l’obligation de prendre des dispositions qu’il n’aurait jamais pensé devoir envisager un jour. Il s’est lancé dans une entreprise qui risque de lui faire beaucoup de tort, que même ses amis ne sauraient l’en protéger. Il s’est lancé à contre courant des idéaux français, des droits de l’homme, de la liberté d’opinion et d’expression. Il a menacé de mettre en prison, quiconque oserait prendre la défense des ces « horribles palestiniens de Gaza ». Il en est arrivé à demander qu’on laisse Tsahal tuer et égorger, sans qu’on leur reproche quoi que ce soit.
Mais quoi qu’il ait fait ou dit, il s’est trouvé très en retard dans cette surenchère de l’horreur, par rapport à ses amis, américains, britanniques, allemands, canadiens et autres…
Il lui fallait coûte que coûte trouver quelque chose d’inédit, pour afficher sa sympathie aux israéliens. Et on ne sait pas qui, dans son entourage lui a soufflé l’idée d’entrer en guerre contre e Hamas. De participer au sein d’une coalition internationale à la guerre.
Et c’est là, qu’il a dépassé toutes les limites et qu’il a suscité des vagues jusque dans son pays, là où la vie ne va plus lui être facile avec la grogne de la rue, la réticence des siens, et la manœuvre colossale que va conduire contre lui, la gauche, qui lui a reproché de vouloir lancer le pays dans une guerre dont il n’a nul besoin, et d’avoir proposer la guerre au lieu de prôner comme à l’habitude de la diplomatie de son pays, la paix.
Déjà, aujourd’hui, à peine sa déclaration de guerre faite à Jerusalem, Macron a déclenché une ire inimaginable au sein même de son parlement, sous la conduite des composantes de la gauche française. Et il doit s’attendre à ce que cette vague se transforme en un Tsunami qui va l’emporter !
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