Economie

Il n’y a pas que le Maroc qui intéresse l’Australie, la Tunisie bientôt parmi les géants des métaux rares?

Il n’y a pas que le Maroc qui intéresse l’Australie, la Tunisie bientôt parmi les géants des métaux rares?

On a appris le 8 avril 2024 que le Maroc a scellé un pacte qui peut rapporter gros, avec le ténor australien Fortescue. Un autre ténor australien, PhosCo Ltd (ex-Celamin Holdings), solidement implantée en Tunisie, veut se développer et là aussi ça peut rapporter gros. La compagnie minière a fait savoir qu’elle a décroché un permis de recherche sur le plomb et le zinc de Ras Ghzir, une région qui a donné des filons d’or par le passé. Alors pourquoi pas d’autres pépites très prochainement, dans cette course mondiale vers les minerais essentiels qui feront l’industrie de demain…

Le bassin de phosphate du nord de la Tunisie a un regain d’intérêt. L’australien PhosCo Ltd attend la décision définitive des autorités sur le permis d’exploitation du phosphate à Sekarna, qui s’étend jusqu’au périmètre de Ras Ghzir, une surface de 60 km² qui a produit jusqu’en 1948.

PhosCo Ltd affirme qu’il est suffisamment costaud techniquement et financièrement pour cocher toutes les cases de la cote de l’ASX. Et ses ambitions sont grandes : Une unité de premier plan pour produire de l’engrais dans le bassin de phosphate du nord de la Tunisie. L’australien a déposé 3 demandes de permis pour débusquer les métaux et minerais rares.

La société peut compter sur une équipe très au point en Tunisie et la dépense de plus d’un million de dollars au deuxième semestre de 2023 prouve qu’elle a en foi en l’avenir. Affaire à suivre…

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