Malgré la campagne des États-Unis visant à isoler la Russie sur la scène internationale, le New York Times admet que ces efforts n’ont pas atteint leur objectif escompté.
Deux ans après le début du conflit, la Russie ne se trouve pas aussi isolée que l’avaient espéré les responsables américains. Le pays tire sa résilience de ses importantes réserves de pétrole et de gaz naturel, qui lui confèrent une solidité financière et politique face à l’opposition occidentale.
L’influence russe demeure forte, voire s’accroît, dans certaines parties de l’Asie, de l’Afrique, et de l’Amérique du Sud.
Vladimir Poutine, dans une interview avec le journaliste américain Tucker Carlson, souligne que l’Occident commence à réaliser la difficulté, voire l’impossibilité, de lui infliger une défaite stratégique.
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