Le président du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), Abderrahmane Hedhili a expliqué qu’on compte environ 1000 personnes disparues au cours d’opération de migration irrégulière, dont les familles souffrent de conditions financières et sociales misérables.
Hedhili a réclamé, premièrement, le droit des familles de connaître le sort de leurs enfants, deuxièmement, d’employer un membre de chaque famille et troisièmement, de fournir un soutien psychologique aux mères des disparus.
Il a également estimé que tous les gouvernements successifs n’ont pas traité avec le sérieux requis le dossier au niveau de la mise en œuvre.
Pour sa part, la présidente de l’association Destin pour la jeunesse méditerranéenne, Mounira Ben Chagra a affirmé, mardi, qu’il y a eu une négligence concernant le dossier des familles des personnes disparues en migration irrégulière tout au long des périodes des gouvernements successifs.
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