Dans un communiqué publié hier, l’Union locale du travail à Skhira a fait savoir que certaines entreprises publiques à l’instar de AGIL et de l’ ETAP subissent une énorme pression pour renoncer à l’achat des actions de trois autres entreprises.
Une manœuvre qui vise, selon le syndicat, à faire en sorte que ces actions soient achetées par des multinationales étrangères pour que le capital social de ces entreprise ne soit pas détenu en majorité par l’Etat.
Réitérant son soutien inconditionnel au secteur public, le syndicat a dénoncé ce processus, décidé de façon unilatérale, qui menace l’atmosphère sociale de la ville.
Que se passe-t-il en Tunisie?
Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!
Commentaires