Le président du syndicat des pharmaciens Naoufel Amira, a assuré que la dépréciation du dinar tunisien face aux devises de référence a aggravé la crise des médicaments en Tunisie, du fait que la PCT est devenue incapable de faire face aux nouveaux prix imposés par cette dépréciation.
Amira a ajouté que depuis janvier 2023, il y avait plus de 300 spécialités manquantes dans les officines, pour la plupart des médicaments très chers, pour les maladies chroniques. Il a expliqué que la fabrication des produits génériques en Tunisie est encore à ses débuts et n’est pas capable de produire des médicaments très élaborés.
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