Une universitaire a publié, ce samedi, un post sur sa page facebook pour déplorer l’amalgame et l’incompréhension chez certains tunisiens qui ne font pas la différence entre ressortissant étranger clandestin, et un autre en situation régulière.
Elle a raconté l’histoire d’une étudiante congolaise qui s’est fait mettre à la rue par le propriétaire qui la logeait.
Elle a appelé les universités où sont inscrits des subsahariens à coordonner avec l’ONOU, pour aider ces étudiants à trouver des solutions et les loger. Un idée intéressante et une voie à explorer et creuser, pour essayer de limiter les effets de cette vague montante de xénophobie nationale, sur les étrangers qui sont en situation régulière, qui viennent en Tunisie pour étudier, voire pour se faire traiter.
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