Au cours de leur rassemblement, jeudi, dans le cadre de la journée de colère, les surveillants et surveillants généraux du ministère de l’Education à Béja, ont indiqué que leurs revendications sont restées vaines.
Selon le Secrétaire général de la Fédération générale des surveillants et surveillants généraux, Jemal Heni, il s’agit de l’activation des accords signés auparavant avec le ministère de tutelle.
L’accord porte sur l’octroi de primes, la revalorisation des salaires, la création de quatre nouveaux échelons dans la profession, les promotions exceptionnelles, la prime de rentrée scolaire, les heures supplémentaires, la régularisation de 600 contractuels et les promotions pour l’année 2020, a-t-il précisé.
Jemal Heni a souligné que ces revendications constituent un droit qui doit être accordé aux surveillants et surveillants généraux, accusant les différents ministres des Finances de bloquer leurs mises en œuvre.
Il a précisé qu’il n’ont pas boycotté encadrement des élèves mais le travail administratif dans les établissements scolaires.
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