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USA : Une grosse gaffe chaque mois, cette fois Biden glisse sur les morts du Covid

USA : Une grosse gaffe chaque mois, cette fois Biden glisse sur les morts du Covid

 

On ne compte plus les boulettes, bourdes, bévues et omissions – c’est selon – du président Joe Biden. La dernière grosse gaffe date du 16 juin dernier, quand il avait lancé dans un discours “God save the Queen“. Alors que la reine d’Angleterre, Elisabeth II, était décédée depuis un moment et qu’il avait même assisté à ses obsèques. La bourde qu’il vient de signer sur les morts liés au Coronavirus sera aussi en bonne place dans les annales de l’histoire…

Biden a déclaré ceci hier mardi 25 juillet lors d’une allocution à Washington : “Nous ressentons encore la profonde perte de la pandémie. Comme je l’ai mentionné, plus de 100 personnes sont mortes. C’est 100 chaises vides autour de la table de la cuisine. Pour chaque perte, il y a tellement de gens laissés derrière avec le cœur brisé“.

C’est évidemment une erreur monumentale, il voulait dire 1 million de décès aux USA des suites du Covid-19 (1 127 152 morts exactement selon l’Organisation Mondiale de la Santé). La Maison Blanche a mis le bon chiffe dans la transcription officielle mais le mal est fait, hélas. Les bruits sur la santé mentale et le grand âge du président repartent pour un tour.

Ce qui rend la situation encore plus cocasse et terriblement gênante pour Biden c’est qu’il faisait un discours sur… la santé mentale des Américains. C’est d’autant plus regrettable qu’au début du même discours, d’après la retranscription, le président américain a bien donné le chiffre “d’un million de morts du Covid.” Encore une faute d’inattention, un problème de concentration qui est devenu chronique, ce qui n’allège en rien la gravité de la chose.

Biden pouvait difficilement faire pire à quelques encablures de l’élection présidentielle. Du pain bénit pour les républicains, dont le champion, l’ex-président Donald Trump, a lui aussi ses boulets, des dossiers judiciaires très lourds qui pourraient balayer sa candidature au scrutin de 2024…

Conclusion : Quel que soit le nom de la personne qui dirigera la première puissance économique et militaire de la planète durant les prochaines années, il sera un problème pour son pays, pour le monde.

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