Concernant le danger imminent stipulé par l’article 80 de la Constitution, le chroniqueur Riadh Jrad a répondu au professeur en droit constitutionnel, Jawher Mbarek que l’ARP discutait de tout sauf des intérêts et des préoccupation du peuple, d’où l’activation de cet article.
« La violence parlementaire s’est reflétée sur la société en engendrant des factions entre les tunisiens. Le gouvernement a commis un crime sanitaire au nom de 20 mille victimes alors que Mechichi se détend tranquillement dans les hôtels, cela représente un danger imminent ! Les jeunes effectuent des traversées clandestines de la méditerranée, rêvant d’un avenir meilleur en Europe, les gens qui font la poubelle, la détérioration des finances publique, tout cela est considéré un danger imminent!» , a-t-il martelé
Jrad a également indiqué que le président de la République était à l’écoute de son peuple et de ce fait, il a appliqué la Constitution et émis les décisions le 25 juillet, de suspension des travaux de l’ARP du moment qu’il ne pouvait pas le dissoudre.
« Le parlement abrite en effet tous types de malfaiteurs, dont les corrompus, les contrebandiers et ceux qui se sont emparé de la Révolution du 14 janvier, qui ont afflués de pays étrangers », a-t-il fait savoir.
De même, il a assuré qu’il est temps d’appliquer des réformes, d’avancer et suivre le cours de l’histoire.
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