Selon les sources médiatiques congolaises, la Cour constitutionnelle de la République Démocratique du Congo (RDC) a officiellement déclaré Félix Tshisekedi vainqueur de l’élection présidentielle du 20 décembre dernier. Avec un total impressionnant de 13.058.962 voix, représentant 73,47% des suffrages exprimés, Tshisekedi s’impose comme le leader incontesté du scrutin.
L’élection a vu Moïse Katumbi maintenir sa position de second, suivi de près par Martin Fayulu. Ces résultats confirment une large avance de Tshisekedi sur ses rivaux politiques, marquant ainsi une nette préférence des électeurs congolais pour le président sortant.
Félix Tshisekedi entame un second mandat de cinq ans après sa première victoire en 2018. Cette réélection représente une étape importante dans la consolidation de son pouvoir et de sa vision politique pour la RDC.
La Cour constitutionnelle a eu à traiter deux requêtes demandant l’annulation des élections. La requête de Théodore Ngoy, qui a obtenu 0,02% des voix, a été jugée recevable mais infondée. Tandis que la requête d’Ehetshe Mpala David a été déclarée irrecevable en raison d’un défaut de qualité.
La décision de la Cour, prononcée lors d’une audience solennelle à Kinshasa, vient confirmer les résultats préliminaires et écarte les contestations. Elle marque ainsi la fin du processus électoral et consolide la position de Tshisekedi comme chef de l’État pour les cinq prochaines années.
Avec cette victoire écrasante, Félix Tshisekedi consolide sa position à la tête de la RDC, malgré les contestations et les défis politiques. Son second mandat sera observé de près, tant au niveau national qu’international, pour les réformes et les politiques qu’il va mettre en œuvre.
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