Intervenant au micro de Tunisie Numérique, des citoyens du gouvernorat de Kasserine se sont plaints de la flambée des prix des vêtements d’occasion qui étaient leur seul refuge face à la hausse des prix des vêtements des boutiques classiques.
Ce marché qui fait vivre des milliers de citoyens est devenu une industrie qui coûte cher au citoyen tunisien.
Les intervenants ont déclaré que l’industrie de la friperie représentait auparavant pour la classe moyenne, une solution alternative pour acheter des vêtements pour la rentrée des classes de leurs enfants à un prix plus bas.
Une citoyenne a fait savoir que ce marché est devenu même plus cher que celui des boutiques classiques précisant qu’elle n’est plus capable de s’habiller de la fripe.
Un commerçant de friperie a appelé les autorités à trouver une solution et protéger ce secteur des dangers qui le guettent dénonçant la cherté des vêtements d’occasion importés de l’étranger.
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