Sami Tahri, le porte-parole officiel de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), a fait savoir que sa présence avec ses collègues aujourd’hui à cette réunion, a pour objectif de soutenir les enseignants et leurs structures syndicales réunies en un organe administratif sectoriel pour discuter les derniers développements du secteur de l’éducation de base dans la ville de Hammamet.
Tahri a estimé, dans une déclaration faite, mercredi, au journaliste de Tunisie Numérique, que la crise de l’éducation de base a été “fabriquée” par le gouvernement et qu’il n’a pas amélioré sa gestion pour leurs revendications.
Le dirigeant syndical a souligné que ce qui a été publié dans l’un des journaux sur l’initiative du quartet, n’est pas encore fondé et n’est rien de plus qu’un document préliminaire qui était au début de la discussion sur l’initiative, et les principaux des changements qui ont été apportés.
«Samedi prochain, nous convoquerons un organe administratif national et peut-être nous discuterons notre initiative..et si les quatre structures des organisations nationales, la Ligue des droits de l’homme, l’ordre des avocats , le Forum des droits économiques et l’ugtt l’approuvent, nous tiendrons ensuite une conférence de presse pour annoncer l’annonce officielle de l’initiative du Quartet.
Il est à noter que le journal “Al Charaa Al Magharebi” avait publié un article dans lequel il évoquait “les caractéristiques de l’initiative du quartet”, affirmant qu’elle comportait des dispositions fondamentales, à savoir “la création d’un organe suprême de réforme, la surveillance du gouvernement, l’élaboration d’une nouvelle constitution , en plus la formation d’un gouvernement de transition politique qui comprend 15 membres et d’appeler à des élections législatives et présidentielles en mars 2024”.
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