La scène commerciale tunisienne se transforme en une pièce de théâtre aux multiples rebondissements, avec des enseignes prises dans les flammes d’une campagne de boycott initiée contre celles ayant des liens présumés avec l’état sioniste.
Le mouvement, lancé par des consommateurs engagés pour soutenir la cause palestinienne, s’est intensifié malgré les tentatives de ces entreprises de désamorcer la situation par des promotions alléchantes.
En réponse aux pertes financières, les enseignes ont adopté une position politique inattendue en proclamant leur soutien à la Palestine. Cependant, cette tactique s’est avérée contre-productive. Les utilisateurs des réseaux sociaux, loin d’être convaincus, ont critiqué ces déclarations comme une tentative de blanchir leur image plutôt que de véritable soutien à la cause palestinienne.
Cet épisode illustre l’effet Streisand où, en tentant d’étouffer la campagne de boycott, les marques ont involontairement attiré davantage l’attention sur leurs liens supposés, intensifiant le mouvement de boycott.
Cette saga révèle la puissance des médias sociaux et la vigilance des consommateurs, prêts à se mobiliser pour des causes justes.
Elle met en lumière les défis auxquels les entreprises doivent faire face dans un monde numérique, où chaque action peut avoir des conséquences imprévues et considérables.
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