Les experts en économie de la Banque mondiale annoncent, dans un rapport intitulé « Conflits et dettes au Moyen-Orient et en Afrique du Nord » pour le mois d’avril, publié hier soir vendredi par la banque, s’attendre à une baisse du déficit budgétaire des finances publiques de 0,8 pour cent au cours de l’année 2024, pour atteindre 5,6 pour cent du PIB. Ce qui indique que les attentes indiquent que le déficit moyen des finances publiques dans les économies importatrices de pétrole augmentera légèrement pour atteindre 5,7 pour cent du PIB, en 2024 contre 5,5 pour cent en 2023.
La banque ajoute, dans son rapport, que malgré la baisse de l’inflation, celle-ci reste élevée en Tunisie, à 7,8 pour cent et en Algérie à 6,4 pour cent.
La banque considère que les prix des denrées alimentaires, notamment les prix des produits frais, sont la cause de l’inflation dans les deux pays. Les prix élevés des produits alimentaires nuisent également, davantage, aux groupes qui en ont le plus besoin, car la nourriture constitue une part importante des dépenses des familles à faible revenu.
Que se passe-t-il en Tunisie?
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