Pour expliquer la position des instituteurs, qui campent sur leur position et refusent de livrer les notes aux administrations, et qui sont décidés d’aller jusqu’au bout, Le secrétaire général du syndicat de base, a déploré la situation catastrophique des écoles. Il a cité les exemples de 463 écoles sans eau potable, près de la moitié des écoles qui ne dispensent pas l’enseignement préparatoire et a assuré que 10% des écoles continuent à prodiguer des cours sur le système des groupes.
Si cet état est, on le concède, désespérant, et que les programmes des écoles privées ne sont pas suffisamment contrôlés, on voit mal, et on n’arrive pas à expliquer le lien entre cet état de choses et les revendications des instituteurs qui exigent des majorations salariales pour y remédier.
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